J'ai traduit ça...
CHAPITRE 1
Les deux homme apparurent au milieu de nulle part, dans une ruelle sombre, ils restèrent debout en silence pour quelques secondes, leurs baguettes magiques pointées l’une sur la poitrine de l’autre . Après, se reconnaissant, ils baissèrent leurs baguettes sous leurs manteau et se mirent à marcher brusquement dans la même direction.
« Des nouvelles ? » demanda le plus grand des deux.
« Les meilleures », répliqua Severus rogue.
La ruelle était encadrée sur la gauche par un muret et sur la droite par une grande haie. Les manteaux des deux hommes s’agitèrent autour de leurs chevilles.
« j’ai cru être en retard dit Yaxley » son dispositif émoussé glissant hors de la vue « c’était un peut plus dure que je ne le pensais Mais j’espère qu’il seras satisfais, tu semble sur de toi, Tu penses que sa réaction serra bonne ? »
Rogue inclina la tête mais ne répondis pas. Ils tournèrent à droite dans une allée large qui menait à la fin de la ruelle .La grande haie couverte avec eux, coulant au delà de la porte impressionnante travaillé au fer qui leurs barrait le passage. Ni l’un ni l’autre ne s’arrêtèrent : en silence les deux levèrent leurs mains dans un genre de salut et passèrent directement à travers.
La haie d’ifs insonorisait les bruits des pas des deux hommes. Ils entendirent un bruissement sur leurs droite :Yaxley brandi sa baguette, et la pointa au dessus de la tête de son compagnon , mais la source du bruit ne venait de rien d’autres que d’un paons blanc, pavanent majestueusement tous au long du haut de la haie.
« Il sait toujours comment faire Lucius. piacoks …» Yaxley poussa sa baguette en arrière sous son manteau avec un reniflement.
Un magnifique manoir apparu sortant des ténèbres. Quelque part dans le sombre jardin au-delà de la haie une fontaine jouait. Le gravier crépitait sous leurs pied alors que Rogue et Yaxley marchaient en direction de la porte , qui s’ouvris soudainement à leurs approche , alors que personne ne l’avais visiblement ouverte.
Le couloir était large, faiblement éclairé, somptueusement décoré, avec un magnifique tapis couvrant tous le plancher en pierre .les yeux des pales portrais sur les murs suivant Rogue et Yaxley alors qu’ils marchaient au-delà des tenebres .Les deux hommes s’arrêtèrent devant une lourde porte en boit conduisant à la prochaine pièce , après quelques minutes d’hésitation Rogue tourna la poignée en bronze de la porte.
La salle était rempli de personne silencieuse, assis à une longue et ordonné table. Toutes les affaires habituelles de la salle ont été poussé contre le murs. Rogue et Yaxley s’attardèrent un moment sur le seille, Un chiffres apparent sans connaissance de figures accrocher à l’envers au-dessus de la table tournant lentement comme suspendu par un dispositif de protection en cas de renversement, Et reflété dans le miroir et dans la surface polie nue de la table. Personne ne regardais la scène à part un pale jeune garçon assis presque au dessus. Il semblait incapable de s’empêcher de jeter un coup d’œil chaque minute.
« Yaxley, Rogue, » dit soudain une forte et claire voix à la tête de la table. « Vous êtes presque qu’en retard. »
L’homme qui venais de parler était assis directement devant la cheminée, donc c’étais à première vue, difficile pour les deux arrivant de voir plus que sa silhouette. Plus ils s’approchaient, plus ils apercevaient son visage qui brillais de tristesse, chauve, comme un serpent, avec des fentes pour nez et des yeux rouges brillants dont les pupilles étaient vertical. Il etait tellement pale qu’il semblais émettre une lueur nacrée.
« Severus, ici » ordonna Voldemort, indiquant la chaise à sa droite. « Yaxley près de Dolohov »
Les deux hommes prirent place immédiatement. La plupart des yeux autour suivirent Rogue, et c’était à lui que Voldemort parla le premier.
« Alors ? »
« Mon seigneur, l’ordre du phoenix a l’intention d’emmené Harry Potter de son lieu de sureté Samedi prochain, à la tombée de la nuit »
Autour de la table certaines personnes étaient figées, d’autre remuait, tous fixant Rogue et Voldemort.
« Samedi…à la tombé de la nuit » répéta Voldemort. Ses yeux rouges fixant ceux de Rogue avec une tel intensité que les personnes autour de la table n’osèrent pas les fixer apparemment craintif d’être roussi par la férocité de son regards. Rogue, cependant, regarda Voldemort droit dans les yeux, et après un moment, la lèvre inférieur de Voldemort se courba dans quelque chose comme un sourire.
« Bien très bien ». dit il enfin « et cette information vient… ?
- Des sources donc nous avons discuté… Répondit Rogue.
- Mon seigneur. »
Yaxley s’était incliné davantage, de manière à ce qu’il ne puisse plus que voir la bas de la table où étaient Voldemort et Rogue. Tous les visages se tournèrent vers lui.
« Mon seigneur… J’ai entendu autre chose… »
Yaxley attendit, mais comme Voldemort ne disait rien, il se lança :
« Dawlish, l’Auror, a laissé échapper que Potter ne bougerait pas avant le 13, la nuit où le gamin doit avoir 17ans. »
Rogue souriait.
« Mes sources m’ont dit que leur plan était de nous mettre sur une fausse piste. Dawlish a sans aucun doute été victime d’un sort de confusion. Ce ne serait pas la première fois ! Il y est sensible.
- Je vous assure, Maître, que Dawlish paraissait formel.
- Il a été victime du sort de confusion ! Evidement qu’il est formel, Siffla Rogue. Je vous assure à vous, Yaxley, que le bureau des Aurors ne va pas prendre à la légère la protection d’Harry Potter. L’ordre pense que nous avons infiltré le ministère.
- Il pense au moins une chose de vrai, alors, hein ? » Déclara un homme accroupi pas très loin de Yaxley.
Il lâcha un ricanement rauque qui fut suivis de ci de là au long de la table. Voldemort ne riait pas. Son regard vagabondait vers le haut, vers le corps qui tournoyait lentement dans les airs et semblait perdu dans ses pensées.
« Maître, reprit Yaxley, Dawlish croit vraiment que les Aurors seront utilisés pour le transfère du garçon. »
Voldemort leva sa main longue et blanche et Yaxley s’interrompit sur le champs, voyant avec rancœur que Voldemort se tournait vers Rogue.
« Où comptent-ils cacher le garçon après ?
- Chez l’un des membres de l’ordre, dit Rogue. L’endroit, selon mes sources, a reçut toutes les protections que l’ordre et le ministère pouvait donner. Je pense qu’il n’a qu’une mince chance pour que nous puissions l’avoir avant qu’il y arrive, mon seigneur. A moins que, bien sure, le ministère ne tombe avant Samedi prochain. Ce qui nous donnerait l’opportunité de découvrir et d’anticiper suffisamment les enchantements pour y arriver.
- Alors Yaxley ? Demanda Voldemort. Est-ce que le ministère va tomber Samedi prochain ? »
Encore un fois, tous les visages se tournèrent. Yaxley (squared ( ?)) ses épaules.
« Maître, j’ai de bonnes nouvelles à ce propos. J’ai, avec difficulté et avec un bel effort, réussi à soumettre Pius Thicknesse au sortilège de l’Imperium. »
Nombre de ceux qui l’avoisinait le regardèrent, impressionnés. Son voisin, Dolohov, un homme avec un long visage tordu, lui tapa dans le dos.
« C’est un début, décréta Voldemort. Mais Thicknesse est un seul homme. Scrimgeour a besoin d’être surveillé par nos personnes avant que j’agisse. Une tentative infructueuse contre la vie du Ministre me ferait attendre plus longtemps.
- Oui, maître. C’est vrai. Mais vous savez, à la tête du Département de l’exécution des lois, Thicknesse a des contacts réguliers pas seulement avec le ministre lui-même, mais aussi avec touts les autres ministres des départements. Ce serait facile, je pense, maintenant que nous avons un officier de haut rang sous notre contrôle, de soumettre les autres et ils pourront tous travailler à abattre Scrimgeour.
- Si notre ami Thicknesse n’est pas découvert avant de convertir les autres, dit Voldemort. De toute manière, il reste que le ministère sera à moi avant le prochain Samedi. Si nous ne pouvons pas capturer le gamin à sa destination, nous devront l’avoir pendant le voyage.
- Nous avons un avantage, maître ! Reprit Yaxley, apparemment décidé à s’attribuer une part de reconnaissance. Nous avons actuellement plusieurs personnes qui travaillent au Département des Transports magiques. Si Potter transplane ou utilise une voix de cheminée, nous le saurons immédiatement.
- Il ne fera ni l’un ni l’autre, répliqua Rogue. L’ordre n’emprunte aucune forme de transport qui soit contrôlée régulièrement par le Ministère. Ils se méfient de tout.
- Tout pour le mieux, dit Voldemort. Il devra se déplacer le jour. Ce serait trop facile de l’avoir la nuit. »
A nouveau, Voldemort regarda au dessus de lui le corps qui tournoyait lentement et déclara :
« Je devrait aller trouver la garçon moi-même. Il y a eu trop d’erreurs concernant Harry Potter. Certaines furent de ma faute. Sa survie est due davantage à mes erreurs qu’à ses réussites. »
Les hommes autour de la table regardèrent Voldemort avec appréhension, échangèrent des coups d’œil, effrayés de pourvoir être blâmer de la continuation de l’existence d’Harry Potter. Voldemort, cependant, semblait plus se parler à lui qu’à l’un d’entre eux, toujours adressé au corps inconscient au dessus de lui.
« Mais j’en sais plus à présent. Je comprends des choses que je ne comprenais pas avant. Je dois être celui qui tuera Harry Potter. Et je le tuerai. »
A ces mots, apparemment en réponse pour eux, une soudaine plainte se fit entendre, un terrible, long gémissement de peine et de misère. Beaucoup de ceux qui étaient à la table regardèrent en bas, surpris par le son qui arrivait d’en dessous leurs pieds.
« Queudver , dit Voldemort sans que sa tranquillité ne faiblisse, d’un ton désinvolte et sans quitter des yeux les corps tourbillonnant au dessus. Je ne t’avais pas demandé de faire en sorte que notre prisonnier se tienne tranquille ?
- Si… M-maître… Murmura un petit homme sur l’autre moitié de la table qui était assis aussi bas dans sa chaise que s’il avait été, une seconde plus tôt, sans occupations. A présent, il fila de son siège et parcouru dans la pièce, ne laissant rien derrière lui à part une curieuse main d’argent.
- Comme je le disais, reprit Voldemort, en regardant à nouveau les visages tendus de ses fidèles, Je comprends mieux maintenant. Je vais avoir besoin d’emprunter une baguette magique de l’un d’entre vous avant de tuer Harry Potter. »
Les visages autour de lui n’exprimèrent rien sauf le choc, comme s’il avait demandé à emprunter un de leurs bras.
« Pas de volontaires ? Remarqua Voldemort. Laissez-moi voir… Lucius ! Je ne vois pas de raison pour laquelle tu pourrais avoir besoin de ta baguette pour l’instant. »
Lucius Malfoy leva les yeux. Sa peau apparut jaunâtre et cireuse à la lumière et ses yeux étaient vides et ombragés. Quand il parla, ce fut d’une voix rauque.
« Maître ?
- Ta baguette, Lucius ! Je demande ta baguette.
- Je… »
Malfoy lança un regard à sa femme. Elle se tenait droite un peu en avant, aussi pâle que lui, ses long cheveux blonds reposant sur son dos. Mais sous la table, ses fins doigts se refermèrent sur le poignet de son mari. A son contact, Lucius plongea sa main dans sa robe de sorcier, sortit sa baguette et la fit glisser le long de la table vers Voldmeort qui la prit et l’examina de ses yeux rouges.
« Qu’est ce que c’est ?
- De l’orme, Maître. Murmura Malfoy.
- Et à l’intérieur?
- Dragon – une fibre de cœur de dragon.
- Bien » Dit Voldemort en sortant sa propre baguette pour comparer leurs tailles.
Lucius fit un mouvement involontaire. Pendant une fraction de seconde, c’est comme s’il avait espérer recevoir la baguette de Voldemort en échange de la sienne. Le détail ne fut pas oublié par Voldemort dont les yeux se plissèrent malicieusement.
« Te donner ma baguette, Lucius ? Ma baguette ? "
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Sam 28 Juil - 20:51
